Mon travail dans les médias
« Je suis Sébastien Rieu, artiste caricaturiste et dessinateur judiciaire. Depuis plus de 25 ans, ma passion est de capturer des visages, des histoires et des instants de vie, que ce soit pour un cadeau unique ou pour le témoignage solennel d’une audience. Vous trouverez sur cette page une sélection de mes travaux tels que relayés par la presse, un reflet de la diversité de mon métier. »
Ma BD « Bienvenue chez les Bordelais » sur France Bleu
Dans sa chronique, le journaliste Michel Cardoze présente ma bande dessinée « Bienvenue chez les Bordelais », un album satirique sur la ville et ses habitants. Il y raconte la démarche derrière ce projet publié à compte d’auteur via Caricature.fr et souligne le fait qu’il a été refusé par toutes les librairies locales, preuve que la caricature dérange parfois !
Se moquer des bordelais ?Croquis d’audience au procès de l’affaire Sandra Pla pour France 3
Je suis dessinateur judiciaire, j’ai assisté à l’intégralité de ce procès intense à la Cour d’assises de la Gironde. Mon travail consiste à retranscrire par le dessin l’atmosphère et les moments forts des plaidoiries, afin d’illustrer le reportage de France 3 & France Info sur cette affaire.
30 ans de prison requis contre l’ex-compagnon de Sandra PlaRegards et silences : croquis du procès de l’affaire Sandra Pla
Lors de ce premier jour d’audience à la Cour d’assises, l’atmosphère était particulièrement lourde. Mon rôle de dessinateur judiciaire est de saisir sur le vif les expressions des acteurs de ce drame : le visage incrédule de l’accusé dans son box, la tension palpable lors des échanges. C’est un travail qui consiste à capturer au-delà des mots, le silence des regards.
L’ex-compagnon de Sandra Pla devant la justicePortrait d’un accusé : croquis au procès de l’affaire Chahinez
Capturer un visage est une chose, mais retranscrire une personnalité décrite par les experts comme « paranoïaque et narcissique » en est une autre. Mon rôle durant ce procès a été de dessiner l’accusé, Mounir, accusé du pire de ce que peut commettre un homme.
Mounir Boutaa a sombré dans ses délires« C’était pas moi, c’était mon corps » : croquis face au déni
Cet article du Parisien retranscrit la tension palpable de l’audience, marquée par les dénégations de l’accusé. Mon défi en tant que dessinateur était de capturer sur le papier ce « délire paranoïaque » décrit par les experts.
« C’était pas moi, c’était mon corps »Le poids des mots, le choc des larmes : dessiner les victimes collatérales
Au-delà de l’accusé, un procès est aussi l’histoire des vies brisées qui l’entourent. Cette journée d’audience a été marquée par les témoignages poignants de l’ex-épouse et des enfants. Mon travail ici n’était plus de dessiner un criminel, mais de retranscrire avec pudeur la douleur d’une famille.
Le cri de souffrance des enfants de l’accusé« Droit de vie et de mort » : Dessiner la mécanique d’un féminicide
Cet article du Parisien plonge dans les détails les plus sombres de l’affaire, décrivant la préméditation et la personnalité tyrannique de l’accusé. Mon rôle en tant que dessinateur était de figer les traits d’un homme qui s’était arrogé un « droit de vie et de mort ».
« Droit de vie et de mort sur elle »Le Verdict : Dessiner la conclusion du procès
Ce reportage vidéo retranscrit le moment le plus solennel du procès : l’annonce du verdict. Mes dessins d’audience servent à illustrer les visages et l’atmosphère de cette conclusion judiciaire.
«FranceInfo sur Youtube»Couverture Nationale : le reportage repris par France24
Signe de l’intérêt national pour cette affaire, le reportage produit par France 3 a été repris et diffusé par France24.
«France24 sur Youtube»